Party for the new lab & multitouch table

On the 19th of February 2009 we had a party to celebrate the new arrangement of our offices.

At the end of november 08, I ordered new desks at my father’s company. It seems trivial to change desks, but in our office it’s been a revolution. The idea was to bring up the lab and improve the use of space.

This is why the magnificent man call dad sent 2 guys to drill, screw and fix long pieces of wood on the walls (410cm X 90cm each).
The result is pretty nice, very useful and already paying off.

So earlier this year, in our new lab, David and me had a great time building our first project together. We were very proud of our new born, and had the honor to present it during the party.
So to say, this party became the “multitouch and toys party” while the brand new desks were reduced to their first purpose : holding the huge amount of wine bottle we brought.

A lot of people enjoyed the table and the store window turned into a multitouch screen with our homemade IR funny throwies.

Show !

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Punk multitouch table

Well, first post in english. Let’s see how it works.

David (called “the mighty Brain” below) and me (called “the clumsy Hands” below) tried, and actually managed, to build our own multitouch screen using FTIR technology. We obtained most of the information to get started on Nuigroup. This is a great community and we wouldn’t have managed without them. 

For our first try, we wanted to stay low budget. We repurposed our old tables to build the main box, tried different silicone-based options for the compliant surface, opted for some rosco projection screen, used some common webcams for the tracking (PS3 eye cam) and finally bought a relatively cheap DLP projector.

Our aim was to make a quick and dirty Multi(please)Touch from scratch, and learn by making experiments. We now plan to build a nicer V2.
The Hand knows how to handle the work when it’s about getting something done.
The Brain knows where is information and how to write code that work.

We plan to post some articles in the coming weeks to discuss the different aspects of the whole process.

Finally, here are some pics.

a spoon to feed, two prototypes

For Ida.

Well, this project seemed to be so easy, but it so wasn’t.
The description is the following : “Before dying I had to make an apparel able to transmit touch or pressure sensation through the distance.”
The purpose of such an apparel is obvious, trying to reduce body distance and allowing hand collision in spite of kilometers.
There are some kind of relationships who need more than the spiritual belief of “we keep in touch” when contact isn’t possible.

So why the spoon ?
The symbolic of the spoon used to feed is strong. No need to define what sort of emotions have been transmitted through our first spoon of food. No need to express the feelings we had towards those who used to feed our mouth. We all have a different kinds, but probably strong for everyone.

Feeding is the responsible act for keeping alive.
(Alimenter est l’act responsable de maintenir en vie)

The spoon is a cold iron tool. With at least one curve and a nest for something liquid, difficult to keep by definition. It’s an agile shape for our clumsy hands, and it does the job.
Spoon by its shape, size and material is also an erotic object. Not to feed we agree, fork is more romantic, but for imagination.
As I was born in a protestant city, I’ll let you figure out what you can do and how to play around with a spoon. Some people could be shocked, and It’s really not my kind, oh no !
(the truth : I keep alive the dream and wait patiently for a receptive body, no need to spread desire if I release the code and plans, no?)

Somehow, the spoon is for food what this prototype is for the relationship, an artifact of love.
A new tool to feed the relationship.

Code and electronic will come later.
Right now, what matters is : Arduino, modified servo, spoon, capacitive meter.

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Les premiers pas de mon moteur à pas.

Avec tout ces moteurs récupérés, il fallait bien que j’essaye d’en faire marcher un.
J’ai pas fini de faire les poubelles, mais pour l’instant c’est dans de vieux scanner que j’ai trouvé les moteurs par-à-pas les plus puissants…

Nous avons réussi.

6 moteurs sur 7 récupérés sont des bipolaires, je les contrôle depuis l’ALIX, via le port parallèle, et un chip L293 avec un bout de code ruby. (lequel sera publié dans une màj de cette page prochainement)
Il m’a fallu 4 fils et une séquence précise pour piloter le moteur.

Avec les deux seuls moteur identiques (et les deux seuls achetés, 9.- ça va) j’ai construit une petite voiture. J’étudie le moyen d’en faire un véhicule totalement autonome (et pourquoi pas asservis), avec l’ALIX ou une WRAP.

Les premiers pas… le premier tour.

L’Analyseur logique pour tester mon code. (via GPIO)

La voiture tourne.

La voiture avance.

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Un grand merci à ceux qui mon appris, assisté, suivit. Et à ceux qui ont partagé ma joie.
Quentin, Jonas, Eric, Loraine, …

La tarte aux pommes pour épater.

La tarte aux pommes pour épater, c’est bon avec les yeux et les papilles bien entendu. Dans american pie, j’ai même appris qu’une tarte aux pommes c’était bien pour faire l’amour.

Alors pourquoi ce la refuser ?

Ingrédients :
– 6-8 pommes à cuire (on trouve facilement la reinette ou les boskoop dans le bled)
– une pâte à gâteau brisée sucrée

Méthode :
– peler, couper en deux et évider les pommes. (les pépins peuvent être enlevé avec une cuillère si la pomme est tendre)
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– préparer la plaque à gâteau, trouer la pâte avec une fourchette.
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– prendre une moitié de pomme la couper en fine tranche (2-3mm)
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– Faire glisser la pomme entre les deux main parallèles. (imagine un carré dont on glisserait deux côté parallèles pour en faire un parallélépipède)
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– Placer les lignes de fruit sur la pâte, parallèles et verticale. (ne couche pas les pommes c’est vachement moins épatant)

– Placer une main devant la tarte avant de prendre la photo, lorsqu’il manque une demi pomme pour qu’elle soit plus qu’épatante.
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– Hop, au four à 220 pour 20-30 minutes.
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post WRAP ALIX

http://en.wikipedia.org/wiki/Post_Tenebras_Lux

Un petit mot à propos de la dernière carte de pcengines, elle est très bien.
Malgré mes tests, je ne suis pas sur qu’elle convienne à l’utilisation bureautique, sous forme de terminal, mais elle séduit en tous les cas pour les utilisations que je compte en faire; un firewall, un “voiture téléguidée”, un AP.

Récemment, j’aitesté la consommation de la WRAP en charge, je ferais bientôt la même chose pour cette carte.
La WRAPUne WRAP à SFNETUne cousine, la SOEKRIS5WAlimentation de laboratoireL’ALIXL’ALIX et les DivXL’ALIX sous Windows !

Bon, pour rester dans la thématique “malgré ces ténèbres illuminés genevois rien”, je vais me faire une petite
bière.

Gateau Ninette d’Edgar mod TO

Gateau Ninette v1.1 (ovolacto-végétarien) pour 4 personnes :

– 2 oeufs
– 100g de sucre brun
– 100g de graisse végétale solide (noisette, palme, coco,… ) ou beurre
– 100g de chocolat noir de ménage
– 30g de farine de chataîgne (une grosse cuillère à soupe)

Dans un plat mélanger les jaunes d’oeufs au sucre. Réserver.
A feu très doux, dans une casserole ou poële faire fondre la graisse végétale ou le beurre avec le chocolat. Remuer doucement.
Lorsque uniforme, incorporer le mélange tiède au jaunes d’oeufs sucrés.
Ajouter la farine de chataîgne.
Préchauffer le four à 200-230°
Battre les blancs en neige, incorporer doucement au mélange.
Mettre au four dans un plat à gratin 30-45 minutes.

Péter la pense.

Montreal – Happy fucking New Year

Sacré trip que celui New York, il s’est passé tellement de choses en si peu de temps.
Pour finir je suis rentré le 31 à Montréal pour y passer nouvel an.
Le dernier soir j’ai mangé suchi avec Genc et ces amis. Le poisson cru n’a pas plût à tous le monde, mais nous avons bien ris.

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Puis le matin, mon départ

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En arrivant à Montréal, j’ai été réconforté par tous mes sens. Bonaventure santait bon, la lumière était douce, les gens accueillant, souriants. Arrivé dehors l’air était frais, ici c’est l’hiver. Un peu de neige pour craquer sous les pieds, et de vent pour souffler l’amiante de New York logée dans mes vêtements.

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J’ai fait un joli nouvel an avec Adèle et Tobie.

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New York – On aime ou on déteste.

C’est une ville ULTRA :

– ULTRA-speed,
– ULTRA-ULTRA-grande,
– ULTRA-polluée,
– ULTRA-pauvre,
– ULTRA-chère,
– ULTRA-glauque dès qu’on s’en éloigne (comme le motel pourri de New Jersey dans lequel je dors)
– ULTRA-malbouffe,
– ULTRA-américaine,
– ULTRA-fashion,
– ULTRA-pas-de-sourires-aucuns,
– ULTRA-pas-convenable-avec-mon-signe-ascendant-astrologique

Bon, faut dire que j’arrive de deux jours merveilleux dans la famille de Dayna.

Faut aussi dire que je me sent pas très bien avec cette junk-food.

En deux mots, l’histoire non-optimiste de ce trip : Le douanier ‘ricain (de 2m cube) c’est moqué de moi car je ne comprenais pas son accent “patate chaude”. Le conducteur de bus m’insulte car je n’ai pas la monnaie (mais me rend la différence). L’évangéliste qui me montre le chemin pour trouver l’hôtel me “force” à faire une prière avec lui (I give you help, you give your soul to god, it takes 5 minutes). Il n’y a aucun freespot dans la ville, tout est question de $.

Bref, je fais ce happy fucking new year, et je retourne à Montréal, chez mes canadiens d’amour.

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