Author: TO

next step : Niagara Falls

L’appareil le plus fou du monde ! (Claire-Anne dit : Inventé par un père dont l’enfant ne savait pas jouer au piano)

Je laisse la place à DAYNA® pour sa merveilleuse d’interprétation de Unfire trees blowing in the wind © on the OmniCordâ„¢

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La commande de matos à ThinkGeek est arrivée ce matin.

Il y a entre autres trois “extincteurs” à TV, plus besoin de mimer la fatigue pour trébucher sur l’interrupteur de la télébeuglante.

Côté Wi-Spy, je dois dire qu’il marche comme un rêve sur mon mac, l’applic est on ne peut plus simple, et le graph bien clair.

Une chose est sûr, le bluetooth peut foutre une sacrée merde. Et il transmet exactement sur la même bande que le 802.11.
On voit assez bien sur le graph comme un canal n’est pas précis, il déborde sur les fréquences voisines à raison d’environ deux canaux.

Bref, que de beaux projets en perspectives pour SFNet et AirPaquis.

Peut-être un jour je bloguerais un mot sur notre (extraordinaire) rencontre avec île sans fil.

Le sol à gelé, on s’amuse à glisser.
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Jusqu’ici il ne fait pas froid, c’est bizarre, pourquoi ?
-> http://www.climatecrisis.net/

Digression floue : MVI_6541.mp4

Après les déjeuners qu’on s’envoie, nous aimables hébergeurs disent :
“Yes it’s good, but it’s rich…”

Nan’pêch’ que Quentin a grave assuré, la fondue était délicieuse.

Ninn à apporté le DVD qui de la mort qui tue la nuit : “Faux Fire” (écrit comme ça).
Ca nous a mis une ambiance enflammée jusqu’à 4h du mat’

Rien a voir : Les images du stade olympique. 40 ans qu’il a été construit, 6 mois qu’ils ont fini de le payé ! 🙂

Les images parlent d’elles-même, des fois elles ne disent rien.

Mardi, il y eu un orage dément. Au milieu du mois de décembre un orage avec l’éclair, le bruit, l’odeur et la température de l’été. Sans déconner, j’avais envie de déshabiller pour prendre les gouttes tièdes sur le corps. Tous le monde regardait le ciel, et certain pensait : “What the fuck !” (dans toutes les langues).

Au milieu du quartier des banques, un vieux qui tiens une banderole “Boycott Israël Apartheid” (la traduction est en face) me lance un “Sympa le shampoing gratuit…”

La manif ne tombe pas à l’eau, il y a beaucoup de monde. Je continue mon chemin jusqu’au planétarium qui s’avère fermé.

Le détail de cette image : c’est la façade d’une église. La suite du bâtiment (derrière) est une administration dont l’architecture date des années 60.

Mercredi il a neigé, très peu. J’avais espoir. Ensuite j’ai regardé “an inconvinent truth” d’al Gore.

Noël ne sera pas blanc nous a dit l’astronome au planetarium, le temps (et le réchauffement planétaire) lui donnera(ont) raison.

Des pompiers qui font une collecte de noël.

Vendredi 15, Ninn nous présente à son studio.

Sur la photo, Max son collègue pianiste, Ninn lui-même, Quentin obnubilé par les enceinte Gelelec et les câbles du patch-panel.

Samedi 16, Ninn joue au “Diable à Quatre”.

Nous sommes les seuls à écouter. Notre table est dans le passage des seveurs et au desssus de nos tête : le match de Hokey sur une énorme TC.

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Faignant un étirement, j’éteins la TV car personne ne la regarde. Erreur ! le boss rapplique, il semble que le résultat soit vital, mais le match n’intéresse personne…

Dimanche matin: il est midi. On se fait un petit Dèj à de fada. La peau du ventre bien tendue, je pense à la quantité de calorie que j’ai ingéré. Assez pour dix jours.

C’est l’escalade à 6000 bornes et 6h de décalages.

-> Avant

– Pendant
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РApr̬s

Une autre image du bâtiment de softimage, juste avant que notre camion plein de caca fonce dans l’entrée. (un poil skato quand même…)

“Dis moi des mot d’amour, dis moi des mots d’amour, un mois de mots d’amour,…” (C) Nour.

Bon, fini les trucs romantiques et les idées cachée.

A Montreal, la danse contact ne semble pas être la même que dans mon bureau.

Et comme convenu on est allé faire caca devant ce bâtiment :

Et quelques autres extraits de bout de ville, avec des messages tout aussi caché.

Mmm, wake up à midday, direction l’dinner : “tu veux-tsu l’beacon ?”, Let’s go, j’prend la totale.

Miam, burb, il est 14h, j’ai plus faim, j’tiens à peine debout. “Ou est l’tube ?”

Sur la road, on croise quelques squirrels currieux. Splendides bestiaules.

-> squirrel-currieux

Caribou, fait d’jà night, on commence à parler de s’qu’on fra c’soir. Ça va jazzer.

Quentin, pas encore bourré, se trompe de bouton et s’exclame :

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PS: Sirop de poteau électrique = Sirop de maïs au goût de sirop d’érable.